Autrefois, c’étaient les appareils photo qui étaient miniaturisés lors d’opérations d’espionnage. Avec l’énorme avancée technologique de ces dernières années, ce sont maintenant des caméras vidéo qui enregistrent les scènes témoins.
Il existe trois sortes de caméras cachées :
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La caméra cachée filaire
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La caméra cachée sans fil
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La caméra cachée avec enregistrement intégré
La caméra cachée filaire.
Pour garder en mémoire les images dont elle est témoin, la caméra doit être reliée à un système d’enregistrements par un fil qui transmet le signal vidéo. Reliées à un système de cassette ou de disques, leur utilisation n’est pas toujours aisée, certaines sont même encombrantes.
Par exemple, si une personne voulait porter ce type de caméra sur elle, elle devrait avoir un sac à dos avec le dispositif d’enregistrement à l’intérieur.
La caméra cachée sans fil.
Cette fois, le signal vidéo est transmis grâce à des fréquences radio. Grâce aux techniques actuelles, la transmission va se faire de différentes façons.
Les plus anciennes caméras sans fil emploient le mode FM pour envoyer le signal vidéo jusqu’au récepteur.
Alors qu’avec le Wi-Fi, les caméras transmettent leurs données avec une modulation numérique, ceux-ci sont plus sécuritaires avec une clé de cryptage.
Enfin, certaines utilisent même le réseau 3G ou 4G LTE.
Ces systèmes restent encore très compliqués à faire fonctionner et seuls les experts du domaine sauront configurer un réseau de caméras.
Ces petites caméras sans fil sont avantagées par le fait qu’elles peuvent être placées n’importe où et dans n’importe quel objet ou vêtement de grande taille ou non, pince à cravate, valise, sac…les reporters sont friands de leurs objectifs minuscules. Elles ne sont donc pas du tout encombrantes et se fondent très bien dans le décor.
La caméra cachée avec enregistrement intégré.
Elles sont totalement autonomes puisqu’elles possèdent directement un système d’enregistrements, il n’y a aucune transmission de données.
Les données sont enregistrées dans la mémoire de la caméra ou dans une carte mémoire.
Ces dispositifs sont soit fixés, soit mobiles.
dispositifs fixés peuvent être utilisés sur des périodes bien plus longues et sont dissimulés dans des appareils du quotidien.Les dispositifs mobiles sont retrouvés dans des appareils type stylos, que l’on peut emporter n’importe où. Mais son utilisation est en général conçue pour les missions courtes dans le temps. 
Alors que les
Il est, bien sûr, obligatoire de venir chercher l’appareil pour visionner les vidéos, ou tout du moins, la carte mémoire.
Dispositif de surveillance à circuit fermé
Dans ce système, il y a émission d’un signal vidéo qui est transmis à un moniteur, permettant de visualiser l’image grâce à un câble de type RJ45.
Les images vidéo peuvent être enregistrées, mais elles ne sont pas transmises en d’autres lieux (à moins de confier le support d’enregistrement).
Il a donc été, dans un premier temps développé dans les banques, puis s’est étendu à d’autres secteurs d’activités pour finalement être utilisé par les forces de police.Ce dispositif d’une grande simplicité d’utilisation est peu coûteux et fort basique de nos jours (mais suffisant pour un petit commerce pour un dépanneur…).
La Grande-Bretagne constitue un exemple dans son utilisation : la plupart des parkings et des recoins sensibles d’immeubles sont mis sous vidéosurveillance dans le but de décourager tout acte criminel.
Les limites de ces réseaux sont atteintes quand ils sont exploités dans des lieux publics. Les vidéos sont transmises à une base de donnés de photos d’identités, et il est alors possible de croiser les images avec la base de données et l’on touche là aux points sensibles du respect de la vie privée de l’individu.
Selon les lois locales, ce type de surveillance sera ou non mise en place. Elle est par exemple interdite en France, mais très répandue en Angleterre.
Dispositif à circuit ouvert
Ce système est basé sur la transmission de images sans fil, la caméra transfère le signal vidéo à la base par Wifi ou équivalent,
L’avantage que procure ce dispositif est que les données ne sont plus attachées à la base mais sont recueillies dans des centres spécialisés. Le concept d’adresse IP est exploité, les données empruntent le plus souvent le réseau internet.
C’est le choix privilégié des grands réseaux de surveillance. C’est aussi le choix des circuits câblés disponible, les mini-cameras peuvent utiliser le réseau électrique de la maison pour transmettre le signal audio vidéo.
Ce système est, de nos jours, mis à profit pour tout ce qui est caméra de surveillance pour les particuliers, afin de garantir la sécurité de leur foyer.
La surveillance est l’acte qui consiste à surveiller, à observer, à espionner une personne. En temps normal, cette action est indiquée au grand public lorsqu’elle est réalisée.
Ainsi, on peut voir à l’entrée de magasins ou centres commerciaux des panneaux signalant le fait que celui-ci est sous vidéo surveillance. Un sympathique et banal « Souriez vous êtes filméS ».
La seule présence de ce panneau constitue un moyen de dissuasion à l’intention des malfaiteurs.
Il existe deux types de dispositifs vidéo permettant la surveillance : le « circuit fermé » et son contraire « en circuit ouvert ».